Le père de Nibali: "Si j’apprends un jour qu’il s’est dopé, je lui arracherai les yeux avant de le tuer..."

Dans celle-ci, on apprend, pêle-mêle, que Nibali a vécu en dehors de sa famille très tôt, ne revenant que pour les fêtes et restant en Toscane pour s’entraîner ; Qu’il a vécu la mort de Pantani, son idole, comme un drame ; Ou encore que son plus grand bonheur est d’être à la maison, auprès de sa femme et deur enfant.

Interrogé à unmoment donné sur l’appartenance de son fils à Astana, équipe ayant unpassé « trouble » en matière de dopage, Salvatore Nibali a cette saillie : « Enzo m'a dit qu'il n'avait jamais subi autant de contrôles antidopage que cette année. De toute façon, si on apprenait quoi que ce soit de moche, s'il se dopait, il ne pourrait plus mettre les pieds à Messine, je le tuerais de mes propres mains. Et avant, je lui arracherais les yeux! »

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