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Valls et les patrons : le coup de foudre

+ VIDEOS Moins de 24 heures après la formation du nouveau gouvernement, Manuel Valls est intervenu lors de l’université du Medef où il a été ovationné.

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Manuel Valls a l’université d’été du Medef

Par Les Echos

Publié le 27 août 2014 à 10:14

Au lendemain de sa constitution, le gouvernement Valls II, purgé de l’aile gauche du PS pour assumer la « ligne » social-libérale voulue par l’exécutif, entre ce mercredi dans le vif du sujet : premier Conseil des ministres ce matin, discours de Manuel Valls devant le Medef en début d’après-midi, chiffres du chômage publiés à 18 heures mais déjà annoncés comme mauvais.

Suivez ci-dessous les dernières informations et déclarations de la journée.

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18h A peine nommé, le gouvernement doit affronter des chiffres du chômage mauvais : la hausse du nombre de demandeurs d'emplois s'est poursuivie en juillet, avec 26.100 chômeurs de plus.

LIRE

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17 h 12. Extrait du discours de Manuel Valls au premier jour de l’université d’été du Medef :

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16 h 50. Le politologue Thomas Guénolé réagit pour « Les Echos » à l’annonce du nouveau gouvernement.

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16 h 21. Pierre Gattaz, le président du Medef, réagit au discours de Manuel Valls devant l'université d'été de l'organisation patronale  :

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16 h 11. Un « copié-collé » des discours de Tony Blair. Le député PS frondeur Laurent Baumel a réagi sur BFM-TV au discours de Manuel Valls devant l’université d’été du Medef. « Moi qui connaît assez bien l’évolution idéologique des partis socialistes depuis deux décennies, je peux vous dire que c’est un copié-collé du type de discours que tenait Tony Blair dans les années 95-97-99 en Angleterre, c’est-à-dire que c’est une proposition idéologique pour rompre avec tout ce que à quoi nous avons cru à gauche depuis des décennies ». « Je peux difficilement cacher mon trouble », a encore dit le député d’Indre-et-Loire. « C’est la première fois, je crois, qu’un Premier ministre socialiste va faire applaudir des piques contre des députés socialistes par un syndicat patronal », a-t-il poursuivi. « Je connais bien Manuel Valls, je sais que sa posture est toujours d’abord politique, et là je pense qu’il a fait un discours politique », a-t-il conclu.

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15 h 48. Le texte du discours de Manuel Valls devant l'université d'été du Medef.

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15 h 50. Passation de pouvoirs sur le Droits des femmes. Emue, Najat Vallaud-Belkacem, ex-ministre des Droits des femmes nommée ministre de l’Education, s’est félicitée des « avancées » obtenues au cours des deux dernières années pour l’égalité femmes-hommes, en passant les rênes à Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, des Droits des femmes et de la Santé et à Pascale Boistard, secrétaire d’Etat aux Droits des femmes. Des associations féministes avaient regretté mercredi la décision de « rétrograder » le ministère des Droits des femmes au rang de secrétariat d’Etat.

Les droits des femmes « ne sont pas un sujet dépassé, suranné. Le combat est toujours indispensable », a déclaré la nouvelle ministre de l’Education lors de son allocution. « Nous avons avancé sur un certain nombre de sujets. Aujourd’hui en matière d’égalité professionnelle, les entreprises n’imaginent pas seulement une épée de Damoclès, mais la visualisent », a-t-elle expliqué, précisant que plus de 6.000 d’entre elles avaient établi un « plan d’action ». La ministre a aussi cité les « progrès » réalisés pour la parité « notamment dans la haute fonction publique » et les « avancées sur les violences faites aux femmes ». Elle s’est réjouie que la loi sur l’égalité femmes-hommes ait été adoptée « juste avant le remaniement » : « J’espère qu’elle fera date » et « il faut désormais veiller à ce que chacune des dispositions de cette loi entre en vigueur », a-t-elle souligné. Son seul « regret » est de « n’avoir pu assister personnellement à l’adoption de la proposition de loi » sur « la lutte contre le système prostitutionnel ».

La nouvelle ministre en charge des Droits des femmes, Marisol Touraine, a exprimé quant à elle son « plaisir » et sa « fierté » de reprendre ce « combat ». « Le bilan est impressionnant » et « il s’agira de faire en sorte que chaque décret d’application (de la loi égalité femmes-hommes) soit pris dans les prochaines semaines », a-t-elle déclaré.

« C’est un honneur pour moi de relever ce défi et de continuer dans les pas de Najat », a assuré de son côté Pascale Boistard.

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15 h 41. Pendant le discours de Manuel Valls, deux tweets ont été envoyés par son équipe sur son compte réactivé ce mercredi :

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15 h 38. Manuel Valls termine son discours. Il a droit à une très longue ovation.

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15 h 32. Evoquant les contreparties au Pacte de responsabilité, Manuel Valls a demandé aux entrepreneurs de « faire plus et plus vite ». « Trop peu de branches ont commencé des négociations », regrette-t-il. « Vous êtes attendus sur l’utilisation que vous ferez des 40 milliards d’euros », rappelle-t-il.

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15 h 25. « L’Europe a plus que jamais besoin d’une entente forte, durable et productive entre la France et l’Allemagne », dit le Premier ministre. Evoquant la politique économique et budgétaire dans la zone euro, Manuel Valls a affirmé qu’« il ne s’agit pas se défausser en changeant les règles (...), en s’exonérant des réformes nécessaires ou encore en montrant du doigt l’Allemagne ou en l’invectivant ». « Je refuse comme le président de la République un face-à-face absurde avec l’Allemagne, faisons attention au projet européen », a ajouté le chef du gouvernement, en réponse aux attaques répétées d’Arnaud Montebourg.

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15 h 19. « La souplesse doit s’imposer pour que les entreprises ne soient pas entravées dans l’embauche », déclare le Premier ministre. Selon lui, « la protection des salariés est élevée en France. Des adaptations sont possibles ». Il annonce que le gouvernement va « alléger certaines règles », notamment sur « le travail du dimanche ». La question « légitime » des seuils sociaux sera négociée, dit-il encore.

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15 h 15. Manuel Valls annonce qu’une charte du contrôle fiscal va être mise en place avec un médiateur.

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15 heures. Applaudi par les patrons présents, Manuel Valls les a remercié pour « cet accueil ». « Je ne doute pas que cela fera des commentaires », a-t-il ironisé.

« Je sais qu’il est d’usage d’opposer la gauche et le monde de l’entreprise, c’est un vieux refrain (...) Notre pays crève de ces postures », a déclaré le Premier ministre. « Cessons d’opposer systématiquement Etat et entreprises, d’opposer chefs d’entreprise et salariés, organisations patronales et syndicats. Cherchons plutôt à coopérer, à trouver des chemins dynamiques, positifs, qui servent l’intérêt général. C’est cela prendre ses responsabilités (...) Les forces vives de ce pays, sociales, politiques, devraient être capables de se rassembler comme on le fait dans d’autres pays pour réformer, pour préparer l’avenir, pour faire en sorte que notre pays soit plus fort au niveau européen et mondial », a-t-il insisté.

« La France a besoin de toutes ces entreprises, PME, start-up, grands groupes. Ce sont les entreprises qui génèrent des richesses qui doivent profiter à tous. J’aime l’entreprise », a-t-il lancé, sous une nouvelle salve d’applaudissements.

Rappelant que « l’esprit d’entreprendre est plus que jamais nécessaire pour faire avancer le pays. Le retour à la croissance passera d’abord par le soutien aux entreprises », a souligné le Premier ministre. « Il est absurde de parler de cadeaux faits aux patrons. Ce langage n’a aucun sens. Une mesure favorable aux entreprises est favorable au pays tout entier », a-t-il défendu.

Manuel Valls, qui a souligné qu’il « défendrai[t] toujours le travail des parlementaires », a dit ne pas « douter du soutien de la majorité » de gauche à l’Assemblée nationale, qui sera « au rendez-vous des textes budgétaires et financiers », notamment dans la mise en œuvre du Pacte de responsabilité.

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14 h 55. Manuel Valls intervient à l'université d'été du Medef, le grand rendez-vous annuel du patronat. Sa venue est symbolique : Manuel Valls n'est que le deuxième Premier ministre depuis la création du Medef en 1998 à se rendre à l'université d'été de la principale organisation patronale française, sur le campus de l'école de commerce HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines). Ses services ont clairement marqué l'importance accordée à ce déplacement en indiquant mardi que le chef du gouvernement « prononcera un discours de mobilisation nationale », devant les entrepreneurs et le patron des patrons Pierre Gattaz.

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12 h 48  : La France doit « accélérer » les réformes, il n'y a « pas de temps à perdre » fait savoir la Commission européenne, après la nomination d'un nouveau gouvernement. Il est « important » que Manuel Valls « ait confirmé l'engagement du gouvernement de maintenir le cap des réformes, essentielles pour que la France relance la croissance, l'emploi de façon durable », a déclaré Simon O'Connor, porte-parole du commissaire européen chargé des Affaires économiques, Jyrki Katainen. « Il est urgent que la France (...) accélère sur les réformes structurelles pour relancer la croissance, augmenter la compétitivité, relancer l'emploi de façon forte et durable », a-t-il ajouté.

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12 h 35.  Manuel Valls de retour sur Twitter. Le Premier ministre a posté un message sur le réseau social. Le premier depuis le 6 mai 2012  :

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12 h 39. Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, a annoncé après le conseil des ministres que le président de la République réunira la semaine prochaine un Conseil de sécurité au sujet de l'Irak et de la Syrie. Il a ajouté que la France saluait le cessez-le-feu, même si celui-ci est jugé « fragile ».

Sur le plan intérieur, il a rappelé la nécessité de la cohérence voulue par l'action gouvernementale : « Chacun doit pouvoir participer, et une fois que les décisions et les arbitrages sont pris, ils doivent être respectés par tous ».

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12 h 09. Le Conseil des ministres est terminé. Les membres du gouvernement quittent l’Elysée.

Dans la cour de l'Elysée, Marylise Lebranchu a souligné le caractère collectif et solidaire du travail commun qui doit servir de marqueur à la nouvelle équipe gouvernementale. Chargée de la Décentralisation et de la Fonction publique comme dans Valls I, elle a lancé : « J'appartiens à un exécutif. Appartenir à un exécutif, ça a beaucoup de sens dans la République française. L'exécutif exécute. Au Parlement, on parlemente. Quand on est dans un exécutif, on respecte une cohérence et on est loyal, c'est tout simple ».

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11 h 15. « On ne joue pas individuel ». L'entourage de François Hollande rapporte quelques propos du chef de l'Etat lors du Conseil des ministres. Parmi les « missions » assignées à ses ministres, le président a souligné la nécessité « de préparer l’avenir au-delà de (leurs) mandats », manière d’inscrire leur action dans le long terme. « Cela passe par le soutien à l’économie, l’innovation, l’industrie, les nouvelles technologies, les grandes infrastructures, la transition énergétique, la culture qui est un grand atout et la jeunesse qui doit être au coeur de toutes nos actions », a-t-il détaillé.

La mission du gouvernement sera de « répondre aux préoccupations des Français - emploi, logement, sécurité, services publics - mais aussi la réduction des déficits qui doit être compatible avec la croissance », a poursuivi François Hollande, enchaînant : « Le gouvernement a un cap, c’est celui du redressement du pays dans la justice pour avoir aussi un économie forte ».

Le président de la République a rappelé que « le gouvernement a une ligne depuis longtemps fixée, celle du pacte de responsabilité qui a été longuement négocié discuté et voté » et « doit être appliqué pour les entreprises, via la baisse des charges, et pour les ménages, via des baisses d’impôts ». « La méthode est celle de la cohérence, de la solidarité », a-t-il poursuivi, toujours cité par son entourage, avertissant : « On ne joue pas individuel ».

Quant aux débats entre membres du gouvernement, s’ils sont « nécessaires », ils « doivent avoir lieu en Conseil des ministres et dans les réunions du gouvernement », a-t-il souligné. Et si « le Parlement doit être respecté », et « les forces vives doivent être écoutées consultées », après « le débat et les consultations, il y a la décision et elle doit être rapide », a-t-il martelé.

Pour François Hollande, il s’agit de « faire preuve d’imagination, d’audace pour réformer ». La « clef, c’est la confiance entre nous et les Français », a-t-il conclu.

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10 h 55. Pas de photo de famille. En raison de l’absence de Ségolène Neuville, la secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l’exclusion, absente pour « des raisons personnelles », le Conseil des ministres ne sera pas suivi de la traditionnelle photo de famille.

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10 h 05 : François Hollande va prendre la parole en ouverture du Conseil des ministres, indique l’Elysée. Le chef de l’Etat rappellera qu’un gouvernement, « c’est un cap, une ligne, une méthode » indique-t-on dans son entourage . « Le cap, c’est le redressement du pays pour que les Français vivent mieux dans une société plus juste et avec une économie plus forte. La ligne, c’est celle du Pacte de responsabilité et de solidarité. La méthode, c’est celle de la cohérence, de la solidarité et de l’efficacité pour répondre sans perdre de temps aux difficultés actuelles des Français, l’emploi notamment, et préparer l’avenir, en particulier de la jeunesse » détaille cette source. « C’est aussi le dialogue avec la majorité, le Parlement et l’ensemble des forces vives de la nation », selon l’Elysée.

« Il terminera en revenant sur la situation internationale dont on connaît la gravité et où la France joue un rôle clé face aux crises, et sur l’Europe », a précisé l’Elysée.

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9 h 55 : Une ambiance de rentrée des classes. Peu avant le début du Conseil des ministres autour de la grande table du salon Murat de l’Elysée, les membres de la nouvelle équipe ont traversé la cour puis gravi les marches du perron du palais présidentiel dans une ambiance de rentrée des classes.

La nouvelle ministre de l’Education, Najat Vallaud-Belkacem est arrivée la première, tandis qu’Emmanuel Macron, vedette surprise du nouveau gouvernement aux manettes du ministère de l’Economie a fait son entrée bras dessus-bras dessous avec son binôme des Finances, Michel Sapin. Les deux hommes affichaient un large sourire, l’expérimenté Michel Sapin mettant affectueusement le bras sur les épaules de son jeune collègue de 36 ans.

Fleur Pellerin, propulsée à la tête du ministère de la Culture, a confié sa « fierté » et son « honneur » de s’être vu confier ce « portefeuille difficile » qu’elle avait depuis toujours « dans un coin de (sa) tête ».

La garde des sceaux Christine Taubira, très souriante également, a fait son entrée dans la cour de l’Elysée comme de coutume, en vélo.

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9 h 45 : Lors de la passation de pouvoirs à Bercy entre Arnaud Montebourg, chantre du « made in France », et Emmanuel Macron, le nouveau ministre de l’Economie, s’est engagé à poursuivre le redressement productif de la France. « Je crois au redressement productif et je continuerai le travail qui a été fait avec cette volonté, chaque jour, d’améliorer les résultats de la France et de restaurer la confiance », a-t-il déclaré. « J’arrive tout auréolé d’une réputation qui m’est faite dans la presse (...). Jugez-moi sur les actes et sur les paroles. Il n’y a que ça qui compte », a t-il lancé. Il s’est aussi engagé à travailler en équipe avec le gouvernement et, notamment, avec Michel Sapin, le ministre des Finances- condition indispensable, selon lui, pour « réussir en économie », afin que Bercy parle d’une « voix unique ».

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Pour Pierre Gattaz, « Emmanuel Macron a trois atouts » :

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9 h 38  :Thomas Thévenoud, nouveau secrétaire d’État au Commerce extérieur, au Tourisme et aux Français de l’étranger, a appelé sur I-Télé au « rassemblement » des socialistes et de « toutes les forces de la France ». Présent en temps qu’élu local dimanche à la Fête de la Rose de Frangy-en-Bresse durant laquelle Arnaud Montebourg a critiqué la politique économique du gouvernement, le député de Saône-et-Loire s’est dit « triste » de la « rupture dans la famille socialiste », appelant à son « rassemblement ». « On a encore beaucoup à faire ensemble, et je crois qu’il faut savoir aussi dans les moments difficiles se rassembler et s’unir », a-t-il déclaré. Il a affirmé que sa mission consistera à « unir toutes les forces de la France pour aller cherche la croissance là où elle est partout dans le monde. »

Interrogé sur la baisse du coût du travail, il a estimé qu’il fallait « de toute façon restaurer la compétitivité des entreprises, quand on a un tel déficit commercial depuis dix ans. Il faut redonner des marges aux entreprises pour qu’elles puissent exporter, innover, déposer des brevets », a-t-il ajouté.

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9 heures. Vallaud-Belkacem face aux « polémiques stériles ». La passation de pouvoir entre Benoît Hamon et la nouvelle ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, se déroule exceptionnellement, à cause de la pluie, dans la salle Condorcet et non sur le perron de l’hôtel de Rochechouart, comme c’est la tradition. « Cher Benoît, te succéder n’est pas une mince affaire », a-t-elle dit, souriante et détendue. « Ceux qui s’expriment ne me connaissent pas bien, mais c’est bien, ils vont avoir le temps d’apprendre à me connaître », a-t-elle dit, interrogée sur la polémique à propos de sa nomination. « Je crois pouvoir dire, sans en rajouter, sans me lancer de fleurs, que je suis une femme de dialogue, vraiment (...) ma porte est ouverte ».

L’ex-ministre Benoît Hamon a redit sa « conviction qu’on n’apaisera pas la République si on n’apaise pas l’école », et affirmé que son passage Rue de Grenelle aura été « sans doute cinq des plus beaux mois de (sa) vie politique ».

Peu de temps avant le passage de témoin, la ministre était l’invitée de France Info où elle a aussi dénoncé « les instrumentalisations insupportables de l’école », notamment sur la prétendue théorie du genre, affirmant qu’elles « n’auront pas de place dans le ministère ». La Manif pour tous et des responsables de droite n’ont pas manqué de voir dans sa nomination une « provocation », la nouvelle ministre ayant défendu avec détermination les ABCD de l’égalité fille-garçon perçus par certains comme l’introduction d’une prétendue théorie du genre à l’école. « L’une de nos responsabilités, c’est (...) que les parents aient confiance dans l’école », qu’ils sachent que leurs enfants apprendront « à lire, à écrire et à compter » et qu’ils apprendront aussi des « valeurs » dont celle de l’égalité des chances et de l’égalité entre les filles et les garçons, a dit la ministre. « Ce sont des principes auxquels je tiens plus que tout et je les défendrai », « c’est ce qui fait le fil rouge de tous mes ministères ».

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