Les mots que nous prononçons définissent ce que nous vibrons. Souvenirs, souvenirs : présentation à Cogolin sur ce thème.
Il y a quelques jours, j’ai une fois encore entendu quelqu’un autour de moi énoncer la fameuse phrase : ‘C’est trop cher. Je ne peux pas me l’offrir.’ ET j’ai su que cette personne me
reflétait mon propre dialogue intérieur face à un désir que je ne ‘m’autorise’ pas à m’offrir. La différence d’énergie ressentie est de taille.
Ce pivot m’a rappelé combien il est important de surveiller nos voix intérieures et de faire attention aux ‘mots/maux’ que nous exprimons et par lesquels nous créons notre
réalité.
Voici donc quelques petits ajustements ‘verbaux’ qui changeront votre état d’esprit pour toujours :
=> "Je ne peux pas me le permettre" n'est pas un message utile à vous donner ; vous vous recréez constamment – en essence - comme ‘victime
impuissante’.
Au lieu de cela, dites: « Ce n'est pas une priorité suffisamment importante pour moi en ce moment ».
Remarquez comme vous vous sentez différent en le disant? Et c'est bien mieux pour votre relation avec l'argent, aussi.
=> Un autre mot que je n'utilise jamais c’est "fauchée". Vous n'êtes pas fauché-e, peu importe l’état de vos finances. Les ressources vont et viennent. Votre ingéniosité et votre alignement sont
votre plus grand trésor.
En PNL (programmation neuro-linguistique), une notion essentielle dit que vos mots programment votre cerveau à créer des résultats spécifiques. La bonne nouvelle c’est que quelque chose d'aussi simple que de modifier vos mots peut changer votre cerveau et votre vie.
Pour expérimenter ceci de manière empirique, je vous invite à tout de suite éliminer «Je ne peux pas me le permettre» de votre vocabulaire pendant une
semaine.
Et si vous vous sentez prêt à aller plus loin encore, supprimez aussi le mot «fauché»!
Bon amusement, et belle semaine d’autonomisation personnelle,