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on oublie vite ! que en 2008, le pouvoir de l'époque se félicitait d'avoir un pays dont le pouvoir d'achat est soutenu par le modèle social, et que l'effet de la crise était amorti par cette redistribution; ceci dit l efficience de la redistribution peut tres probablement générer des économies de gestion, à réinvestir dans...la lutte contre la pauvreté, bien sur ! car c'est là le point le plus choquant : ce n'est pas les 56% de prélèvements, ce sont les millions de pauvres , ce qui ruine le lien social et fait la base de beaucoup de violences, individuelles et collectives ; la vraie réforme n'est pas de baisser les taux, mais d'exiger de l'efficacité , à mes yeux (de riche)
Shopper+Retail+Data_Consultant & Tutor_Insights into Actions #ManagerForInclusion
6yon oublie vite ! que en 2008, le pouvoir de l'époque se félicitait d'avoir un pays dont le pouvoir d'achat est soutenu par le modèle social, et que l'effet de la crise était amorti par cette redistribution; ceci dit l efficience de la redistribution peut tres probablement générer des économies de gestion, à réinvestir dans...la lutte contre la pauvreté, bien sur ! car c'est là le point le plus choquant : ce n'est pas les 56% de prélèvements, ce sont les millions de pauvres , ce qui ruine le lien social et fait la base de beaucoup de violences, individuelles et collectives ; la vraie réforme n'est pas de baisser les taux, mais d'exiger de l'efficacité , à mes yeux (de riche)
quel est la part du coût de la gestion par rapport aux redistributions, mais ce point suffit pour éloigner les investisseurs