Catalogne. « Le pire est peut-être à venir »

Une quarantaine de personnes ont manifesté leur soutien au peuple catalan et dit leur inquiétude sur l'évolution de la situation d'ici le 1e r octobre.
Une quarantaine de personnes ont manifesté leur soutien au peuple catalan et dit leur inquiétude sur l'évolution de la situation d'ici le 1e r octobre.
Une quarantaine de personnes ont répondu, hier à 18 h, à l'appel de l'Union démocratique bretonne à un rassemblement pour la Catalogne devant la préfecture. Les militants du NPA « solidaires du peuple catalan qui luttent pour l'autodétermination » y ont également participé. Bernard Le Mao et Naig Le Gars, au nom de l'UDB, ont dénoncé l'attitude de l'état espagnol pour bloquer le référendum. L'UDB souhaite également « interpeller nos responsables politiques qui restent muets sur la question ». Ce vendredi, Narcis Llongueres, un musicien catalan installé à Quimper, a dit sa peur pour l'avenir. « L'état espagnol a mis des hauts fonctionnaires catalans en prison comme du temps de Franco. Ils nous refusent le droit humain de voter, qui n'est pas interdit. La fin du franquisme n'est pas encore arrivée à son terme. Aujourd'hui, il y a 4.000 gardes civils à Barcelone, logés dans des bateaux dans le port. Le pire est peut-être à venir car le référendum est toujours programmé pour le dimanche 1e r octobre. Le président de la Catalogne sera peut-être emprisonné », a-t-il déclaré. Il a remercié les personnes présentes pour leur soutien.

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