Quand on parle de bien-être au travail, on pense tout de suite aux start-up ou aux grands groupes. Mais qu’en est-il chez les PME ? C’est ce qu’a voulu savoir Séverine Daniel, chief happiness officer (CHO), en collaboration avec la start-up Zest (1). Voici une infographie synthétisant leur étude.

Sur les 600 chefs d’entreprise contactés, un peu plus de 100 ont répondu à l’enquête. “Notre idée était de dresser une tendance de ce que pensent les dirigeant(e)s de PME du « Happiness at work » et du métier de CHO”, explique Séverine Daniel. L’occasion également de casser quelques idées reçues : “Cette profession assez récente a fait l’objet de nombreux reportages dans les média. Les rôles des CHO sont variés selon les structures. Cependant l’image la plus souvent représentée par les télés et les radios est celle d’un Office Manager/Feel Good Manager dont la principale fonction serait d’organiser des petits-dej, des barbecues ou encore des concours de baby-foot. On est dans la caricature. C’est à mon sens la partie la plus superficielle du job et qui peut même avoir l’effet inverse en terme de message adressé aux salariés : du saupoudrage. La Direction, si elle engage un CHO, doit avoir une réelle volonté d’améliorer le bien-vivre collectif et décider de commencer par un travail de fond. Le CHO est avant tout un facilitateur de relations humaines.”

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(1) http://zestmeup.com/

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