Depuis trente ans, l’essayiste américaine détricote les mécanismes de la domination masculine. Une réflexion vigoureuse et salvatrice.
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Publié le 21 février 2018 à 07h00
Mis à jour le 19 août 2021 à 00h51
«Le langage, c’est le pouvoir, écrit l’essayiste et activiste féministe américaine Rebecca Solnit. […] S’il vous manque les mots pour définir un phénomène, une émotion, une situation, alors vous ne pouvez pas en parler, ce qui veut dire que vous ne pouvez pas non plus vous rassembler pour évoquer ces problèmes et encore moins y apporter des solutions. […] C’est peut-être particulièrement vrai du féminisme, un mouvement attaché à donner une voix et du pouvoir à ceux et celles qui n’ont ni l’un ni l’autre. » Voilà une trentaine d’années que Rebecca Solnit s’emploie à nommer les symptômes de la domination masculine, même si ce n’est pas l’axe unique
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